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Par Meari ~ le 10 Décembre 2016 à 11:30
Hey salut toi. Je sais pas trop de quoi te parler aujourd'hui, à vraie dire la seule chose à laquelle je pense c'est à la mort, c'est pas joyeux mais bon aujourd'hui... Parlons à une amie sombre.
Bonjour Madame la mort.
Ça va ? Combien d'âmes d'innocents à tu prise aujourd'hui ? Combien de personnes pleurent aujourd'hui à cause de toi ? Une, une personne sûre, comment je le sais ? Car cette personne c'est moi. Depuis vendredi les larmes que tu me procures rythme mes nuits, mes moments de faiblesses et plus globalement ma vie. Avoue tu souris... Tu es fourbe je le sais, tu joues. Oui, c'est ça, tu joues, puis un jour ton jouet t'ennui, tu t'en lasse et tu en finis du mois avec lui. Si ton jouet est trop simple à avoir tu vas faire en sorte qu'il souffre pour que le jeu devienne "drôle". Que sommes nous pour toi ? De simple poupées qui finissent dans ton bac à jouet ? Des fourmis face à ta puissance, ta grandeur devrais-je dire ta splendeur ? Sache que certe beaucoup de personnes ce questionne sur toi, tu es l'un des mystères de ce monde. Beaucoup on peur de toi car tu frappes "n'importe où", c'est faux tu ne frappes pas n'importe où tu choisis tes victimes, tu nous regarde de là où tu es. C'est à dire partout. Et tu juges si une personne serait intéressante pour s'amuser, alors tu prends d'abord les meilleurs. Ben oui c'est drôle car beaucoup de personnes remplissent ton âme salace avec leurs larmes. Tu prends les faibles, les fragiles et hop un suicide. Peu à peu tu prends les vieillards, les malades, nos amis, nos familles mais on ne peut rien y faire. Car tu as trop d'emprise. Mais tu sais Madame la mort une catégorie de tes jouets ne s'offrira pas si facilement à toi. Oui, tu as un point faible ceux qui n'ont pas peur de toi, pas peur de la mort. Tu hais cette catégorie, tu veux toujours qu'elle souffre plus, qu'elle meurt vite, rapidement pour ne pas qu'elle se propage. Pourtant, tu as oublié certains de cette catégorie. Qui ? Moi. Oui tu as éliminer celui qui m'avait appris à ne pas avoir peur. Mais je suis là. En son honneur je te résisterais tu ne m'auras pas. Jamais.
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Par Meari ~ le 10 Mai 2016 à 17:30
Avoir un ami, un de nos meilleurs amis, malade c'est déjà dure pour chacun de nous. Devoir en plus surmonter la mort de cet ami nous brises, nous, pauvre humains que nous sommes. Sache, toi, toi Tom. Que je serais là, tu n'as pas hésité à m'appeler quand tu as appris la nouvelle. Tu es peut-être fort d'apparence mais tes larmes, ton souffle et ta voix .. Ton trahit. Tu souffre. Tu auras beau te persuadé que la vie est merdique, ce n'est pas toujours le cas et je serais là pour te le rappeler. je sais que tu surmonteras cette perte mais seul non .. Je t'aiderai, je te le promet. Ne fais pas de bêtise hein ? Pense a vos bon moments, la souffrance s'estompera doucement avec le temps et avec de l'amour.
Prend soin de toi, si tu as besoin je suis là et je le serais toujours. Je t'aime fort mon ange bien plus fort que tu ne le penses.
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Par Meari ~ le 10 Février 2016 à 21:56
Elle l'aimait, il disait que lui aussi. Les baisers, les câlins, les caresses et les cadeaux, elle s'en rappelle. la douce voix de celui qu'elle idéalisait résonne encore et encore dans son cœur, son corps et son âme. Elle regarde son petit ventre s'arrondir de jour en jour, le petit être grandit, son sourire s'élargit. Da,s le miroir son jeune visage d'adolescente ne la trahit pas, sa poitrine paraît banale, mais un petit ventre c'est formé depuis quelque mois. Personne au lycée ne peut le remarquer, elle le cache, le couve, le protège du monde extérieur. Sa mère, son père et son frère acceptent l'enfant, il naîtra dans une belle famille, se dit-elle puis son sourire disparaît, belle famille sans père. Chaque samedi elle se rend sur la tombe se son premier amour, le destin l'a pris avant l'heure, trop t^t, il avais voulu l'enfant, il aurait souhaité le connaître. La vie en à décidé autrement, la maladie plus forte que le destin. Personne ne peut en vouloir à une chose qui effraie chaque être humain. Elle avait décidé, elle gardait le dernier hommage à son amour. Leurs enfant, le fruit d'une union heureuse sera sa perle rare, son symbole de combat; Si l'enfant est un garçon il portera le nom de son père, c'était la dernière volonté de celui ci. Une jeune femme frêle sans père pour son enfant, on lui répétait souvent, mais peut lui apportait elle aimerait le bambin comme elle aimait son père.
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